À chaque fois que je l’entends, je pense à son double de fiction. C’est peut-être le seul homme politique français qui me fait cet effet. Je ne peux m’empêcher d’évoquer les courants d’air qu’il déclenche en claquant les portes ou la vibration des meubles et des bibelots lorsqu’il approche à grand pas. Sauf qu’il est…