C’est un peu comme une libération. Je me permets d’insister sur l’emploi de l’adverbe « un peu » dans cette phrase car à la découverte de ce qui suit, le lecteur comprendra certainement qu’il n’y avait rien de dramatique ou de grave. Il n’empêche qu’en ce lundi, aussi maussade soit-il, je ressens une certaine légèreté. Car voici…