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Conte chimérique

28 mars 2024

Quelle journée, mes amis ! Je parle de celle d’hier. Pour la première fois depuis des mois, j’ai assisté à une manifestation professionnelle. Tel Cendrillon… Oui, je peux comprendre que l’analogie avec un type grisonnant en léger surpoids peut surprendre, mais c’est métaphorique, n’est-ce pas ? Quoi qu’il en soit, j’ai été absolument ravi d’avoir été invité par l’Union des marques à cette très intéressante journée d’études et de conférences. J’y ai fait quelques connaissances et revus plein d’amis (et de lecteurs !) ce qui a encore embelli ce moment. J’avais juste un petit problème en arrivant. Pensant m’être inscrit, je me suis aperçu que j’avais dû, comme souvent, faire une fausse manip et oublier de cliquer sur « confirmer ». Aucun problème me rassure le jeune homme de l’accueil qui me demande derechef mes noms et qualités pour confectionner le badge. Et voilà que, pris de court lorsqu’il me demande quelle société je représente, je réponds crânement : Mediafredo. Et c’est ainsi que je me suis promené toute la journée avec ce nouveau statut suspendu autour du cou. J’étais tellement fier que j’en ai fait une photo que j’ai illico postée sur les réseaux sociaux idoines entraînant par là même autant de félicitations que d’interrogations. C’est quoi Mediafredo ? Eh bien, ce n’est pas facile à expliquer. Disons que c’est une idée qui prend forme. Pour le moment, sa seule existence est un logo créé par la géniale Aida de Miguel Alió et un site internet que je ne vous invite pas à visiter car il est en construction. Mediafredo est en quelque sorte la matérialisation de mon futur, une chimère qui ne demande qu’à prendre de la consistance. Vous n’avez rien compris ? C’est normal mais ce n’est pas grave. D’ailleurs, à la fin de cette fructueuse journée (celle d’hier, essayez de suivre un peu), j’ai dû le rendre, mon badge. Car il était 100 % recyclable. Un peu comme la citrouille de Cendrillon.